Il est bien d’apporter à l’homme de la spiritualité, pour lui permettre d’avoir une réponse « magique » à des événements inexplicables ou insurmontables. La religion peux aussi aider à dépasser ses peurs, à corriger ses défaut, à rendre l’homme meilleur.
Mais la religion est faite par les hommes et tant à devenir une source de pouvoir et de richesse qui cherche à assujettir ses croyants et à convertir, à dominer les autres.

De par mes connaissances sur les religions chrétienne, musulmane et juive, il y a un phénomène d’adoration d’un dieu auquel l’homme est soumis. Cela est de nature à limiter notre liberté et à nous déresponsabiliser de nos actes.

Les religions hellénique et romaine offrent plus de liberté aux hommes, mais nous restons les jouets des dieux même si on peut les défier et s’en rapprocher.

Pour le paganisme nous sommes les dieux, ou plutôt ils font parties de nous et des éléments et évènements rencontré. Il n’y a pas d’adoration, l’homme n’agit pas pour les dieux mais avec les dieux. Le paganisme défini un rapport au monde et nous transmet une attitude existentielle extrêmement positive vis-à-vis de notre monde et non pas d’un au-delà.
Le paganisme peut aussi ce vivre seul sans un clergé ou un maitre à penser.
Voilà une belle expression de liberté concrète !