Traduction Blanche Europe

Le Grand Remplacement

N’entre pas docilement dans cette bonne nuit,
Le vieil âge devrait brûler et s’emporter à la chute du jour;
Rager, s’enrager contre la mort de la lumière.

Bien que les hommes sages à leur fin sachent que l’obscur est mérité,
Parce que leurs paroles n’ont fourché nul éclair ils
N’entrent pas docilement dans cette bonne nuit.
Les hommes bons, passée la dernière vague, criant combien clairs
Leurs actes frêles auraient pu danser en une verte baie
Ragent, s’enragent contre la mort de la lumière.

Les hommes violents qui prient et chantèrent le soleil en plein vol,
Et apprenant, trop tard, qu’ils l’ont affligé dans sa course,
N’entrent pas docilement dans cette bonne nuit.
Les hommes graves, près de mourir, qui voient de vue aveuglante
Que leurs yeux aveugles pourraient briller comme météores et s’égayer,
Ragent, s’enragent contre la mort de la lumière.

Et toi, mon père, ici sur la triste élévation
Maudis, bénis-moi à présent avec tes larmes violentes, je t’en prie.
N’entre pas docilement dans cette bonne nuit.
Rage, enrage contre la mort de la lumière.

Dylan Thomas

Introduction

Il s’agit des taux de fécondité.
Il s’agit des taux de fécondité.
Il s’agit des taux de fécondité.

S’il y a une seule chose que je veux que vous reteniez de cet écrit, c’est que les taux de fécondité doivent changer. Même si demain, nous déportions tous les non-Européens de nos terres, les Européens seraient quand même pris dans la spirale du déclin et de l’extinction.

Chaque jour qui passe, nous sommes moins nombreux, plus vieux et plus faibles. Il nous faut retrouver des taux de fécondité assurant le remplacement des générations, ou alors le processus nous tuera. Pour se maintenir, un peuple doit assurer un taux de fécondité qui atteint le seuil de remplacement. Dans le monde occidental, celui-ci est à peu près de 2,06 enfants par femme. [ici]

Or, pas un seul pays occidental, pas une seule nation blanche n’atteint ce seuil. Ni en Europe, ni dans les Amériques, ni en Australie ou en Nouvelle-Zélande. Les Blancs sont défaillants pour ce qui est de se reproduire, de fonder des familles, d’avoir des enfants. Mais malgré ce taux de fécondité inférieur au seuil de remplacement, la population de l’Ouest augmente, et rapidement. Comment une telle chose est-elle possible ?

C’est l’immigration de masse et les taux de fécondité élevés des immigrés qui provoquent cette augmentation de population. Nous sommes les témoins d’une invasion sans précédent dans l’histoire. Des millions de gens se déversent à travers nos frontières, légalement. Invités par l’État et les entités affairistes pour remplacer les gens qui ont cessé de se reproduire et de fournir la force de travail à bon marché, les réserves de nouveaux consommateurs et les gisements de contribuables que les grandes entreprises et les États doivent faire prospérer.

La crise de l’immigration de masse et les taux de fécondité inférieurs au seuil de remplacement attaquent si violemment le peuple européen que, faute d’être combattus, ils finiront par aboutir au remplacement racial et culturel complet du peuple européen.

Pour prendre la pleine mesure de ce processus, il suffit de jeter un œil aux projections démographiques des nations occidentales pour l’année 2100. [ici]

En 2100, malgré les effets ininterrompus des taux de fécondités inférieurs au seuil de remplacement, les chiffres montrent que la population totale ne baisse pas corrélativement, mais se maintient et augmente même rapidement dans beaucoup de nations blanches. Sous l’effet de l’immigration, uniquement. C’est le remplacement ethnique. C’est le remplacement culturel. C’est le remplacement racial.

C’est le GÉNOCIDE DES BLANCS.

Dépasser à nouveau le seuil de remplacement est la priorité numéro un. Mais ce n’est pas chose aisée. Il y a mille raisons qui expliquent le déclin des taux de fécondité et la destruction de la cellule familiale classique. Il faut inévitablement corriger ce désastre qu’est l’individualisme hédoniste et nihiliste. Mais cela prendra du temps, un temps que nous n’avons plus, étant donnée la crise de l’immigration de masse.

À cause d’elle, nous ne disposons pas du laps de temps nécessaire pour accomplir le changement de paradigme civilisationnel nécessaire pour recouvrer notre santé et notre prospérité. L’immigration nous privera de nos droits civils, subvertira nos nations, détruira nos quartiers, nos solidarités ethniques, nos cultures et nos peuples. Elle nous détruira bien avant les effets de la faible fécondité.

Dans ces conditions, avant de régler le problème des taux de fécondité, il faut régler le problème des envahisseurs déjà présents dans nos frontières et celui de ceux qui tentent de les franchir. Il faut écraser l’immigration et déporter les envahisseurs qui vivent déjà sur notre sol. Ce n’est pas seulement une question de prospérité ; il y va de la survie de notre peuple.

Réponses à des questions possibles

  1. En général

Qui êtes-vous ?
Un Blanc moyen de 28 ans, né en Australie dans une famille de la classe laborieuse. Mes parents sont d’origine écossaise, irlandaise et anglaise. J’ai eu une enfance normale, sans gros problème. Je n’étais pas très porté sur les études, j’ai eu du mal à avoir mon bac. Je ne suis pas allé à l’université, par manque d’intérêt pour ce qu’on y apprenait. J’ai travaillé un moment avant de me faire de l’argent en investissant dans Bitconnect, puis je me suis servi de cet argent pour voyager. Récemment, j’ai travaillé à temps partiel dans le déménagement de kebabs [« as a kebab removalist »]. Je ne suis qu’un Blanc de base, issu d’une famille de base. Un de ceux qui ont décidé de marquer le coup pour protéger l’avenir de mon peuple.

Pourquoi avez-vous mené cette attaque ?

  • Surtout pour montrer aux envahisseurs que nos terres ne seront jamais leurs terres. Nos patries sont à nous et tant qu’un seul Blanc est en vie, JAMAIS ils ne pourront conquérir nos terres et ils ne remplaceront jamais notre peuple.
  • Pour venger les centaines de milliers de morts provoquées par les envahisseurs sur les terres européennes au cours de l’histoire.
  • Pour venger l’asservissement des millions d’Européens arrachés à leurs terres par les esclavagistes musulmans.
  • Pour venger les milliers de vies européennes perdues dans des attentats terroristes sur les terres européennes.
  • Pour venger Ebba Akerlund.
  • Pour réduire directement les taux d’immigration sur les terres européennes en intimidant et en balayant physiquement des envahisseurs.
  • Pour pousser les ennemis politiques de mon peuple à l’action, de façon à ce qu’ils aillent trop loin et reçoivent un retour de flamme.
  • Pour exacerber la violence, les représailles et les divisions entre les Européens d’un côté et de l’autre les envahisseurs qui occupent à présent le sol européen.
  • Pour venger les Européens et Européennes tombés lors des guerres incessantes de l’histoire européennes pour leurs peuples et pour leurs terres, lesquelles sont livrées au moindre déchet étranger qui daigne y pointer son groin.
  • Pour montrer les effets de l’action directe et montrer la voie à ceux qui voudraient suivre, la voie qui s’offre à ceux qui veulent libérer les terres de leurs ancêtres des griffes des envahisseurs, pour devenir un fanal pour ceux qui veulent créer une civilisation durable et enfin pour leur dire qu’ils ne sont pas seuls.
  • Pour créer une atmosphère de peur et de changement au sein de laquelle l’action révolutionnaire tranchante et puissante peut survenir.
  • Pour ajouter une impulsion au mouvement pendulaire de l’histoire, déstabiliser et polariser davantage la société occidentale, de façon à détruire pour de bon la démence nihiliste, hédoniste et individualiste qui a pris le contrôle de la pensée européenne.
  • Pour enfoncer un coin entre les pays de l’OTAN que sont les Européens et les Turcs, qui en font aussi partie, de sorte que l’OTAN devienne à nouveau une armée européenne et repousse la Turquie à sa vraie place qui est celle d’une force étrangère et ennemie.
  • Et finalement, pour créer un conflit aux États-Unis sur la question de la possession des armes à feu entre les deux idéologies opposées, afin d’approfondir le fossé social, culturel, politique et racial dans ce pays. Le conflit portant sur le deuxième amendement de sa constitution et les tentatives d’abolition des droits des propriétaires d’armes à feu vont déboucher sur une guerre civile qui va balkaniser les États-Unis conformément à ses lignes de fracture politiques, culturelles et, par dessus tout, raciales. La balkanisation nord-américaine aboutira non seulement à la séparation raciale des habitants des États-Unis qui garantira l’avenir de la race blanche sur le continent nord-américain, mais elle donnera aussi le coup de grâce à la chimère du « melting pot ». Qui plus est, cette balkanisation réduira aussi la capacité de projection militaire de la puissance US, ce qui garantira le non-retour définitif de situations comme l’engagement US au Kosovo (où les forces américano-otanesques avaient soutenu les musulmans et massacré les Européens chrétiens qui tâchaient de déloger d’Europe ces occupants islamiques).

Au fond, que voulez-vous ?
Nous devons protéger l’existence de notre peuple et l’avenir des enfants blancs.

Une raison particulière vous a-t-elle poussé à entreprendre cette attaque ?
Une période de ma vie m’a fait changer d’opinions, deux ans avant l’attentat. Cette période va d’avril 2017 à mai 2017. Pendant cette période, une série d’événements eurent raison de mes derniers doutes et de mon cynisme, en me révélant la vérité sur la situation de l’Occident. Ces événements me détournèrent des solutions démocratiques et politiques et finirent par provoquer la révélation de la vérité : seule une révolution violente peur résoudre notre crise actuelle.

Je faisais du tourisme en Europe de l’Ouest à l’époque, en France, en Espagne et au Portugal. Le premier événement qui pour moi, changea la donne, fut l’attentat de Stockholm du 7 avril 2017. Cet attentat n’était qu’un maillon d’une chaîne d’attentats qui survenaient régulièrement depuis que je suis adulte. Mais celui-ci était différent à mes yeux. Le cynisme blasé avec lequel j’enregistrais les attentats précédents n’était plus là. Ce cynisme devant les attentats des envahisseurs musulmans contre l’Europe, qui avait toujours été là en moi, aussi loin que je peux m’en souvenir, soudain n’y était plus. Je ne riais plus jaune. Je ne pouvais plus tourner le dos à la violence. Quelque chose, cette fois-ci, était différent.

La différence s’appelait Ebba Akerlund. La jeune et innocente Ebba, Ebba la morte. Ebbal allait à la rencontre de sa mère après l’école, quand elle fut assassinée par un assaillant musulman qui conduisait une voiture volée sur l’allée marchande où elle marchait. Ebba était à moitié sourde et n’a pas entendu l’assaillant arriver. Sa mort sous les coups des envahisseurs et mon incapacité de l’empêcher brisèrent mon cynisme blasé à coup de masse. Je ne pouvais plus faire comme si les attentats n’existaient pas. C’étaient des attentats contre mon peuple, des attentats contre ma culture,, contra ma foi et contre mon âme. Je ne pouvais plus faire comme si.

Le deuxième événement fut l’élection de 2017 en France. Les candidats formaient un signe des temps évident : un mondialiste, capitaliste, égalitariste, ancien banquier, sans autre foi que l’amour du profit, contre une bonne à rien de nationaliste civique mollassonne et sans tranchant dont l’idée la plus courageuse et inspirée était de déporter éventuellement les immigrés clandestins. Malgré le côté ridicule du duel, la possibilité d’une victoire de la quasi-nationaliste, me disais-je, serait le signe qu’une solution politique était encore possible. L’ancien banquier gagna, lui l’internationaliste, le mondialiste, l’anti-blanc. L’écart du score était sans appel. L’idée d’une solution politique en Europe était inacceptable. Le désespoir planta son drapeau en moi. Ma croyance en une solution démocratique s’évanouit.

La dernière goutte d’eau fut de voir l’état des villes et villages de France. Pendant des années, j’avais entendu parler et lu des choses sur l’invasion de la France par les non-blancs, mais je croyais que ces rumeurs et ces histoires étaient de l’exagération fabriquée au service d’un objectif politique.

Mais une fois posé le pied en France, j’ai découvert que ces histoires non seulement étaient vraies, mais qu’elles sous-estimaient gravement la situation. Les envahisseurs étaient là, dans chaque ville de France, dans chaque village. Patrtout où j’allais, que la commune que je visitais fût grande ou petite, les envahisseurs étaient là. Les Français étaient souvent en minorité et les Français que je voyais étaient le plus souvent seuls, sans enfants, ou bien vieux. Alors que les immigrés étaient jeunes, pétulants, ayant de grandes familles et de nombreux enfants. Dans une ville moyenne de l’Est de la France, je me souviens avoir garé ma voiture de location dans le parc de stationnement d’un centre commercial, pour acheter de quoi manger. Je regardais le flux d’envahisseurs qui franchissaient le seuil du centre commercial. Pour un Français, il y avait deux envahisseurs.

J’en avais assez vu, et de rage, je quittai la ville, refusant de rester plus longtemps dans cet endroit maudit. Je partis en direction de la ville suivante. Sur la route, tout en me disant que je retrouverais les envahisseurs dans la ville suivante de mon itinéraire, mes émotions alternaient entre la rage écumante et le désespoir suffocant, devant l’indignité de l’invasion de la France, le pessimisme des Français, leur perte de culture et d’identité et la farce de solution politique qui leur était offerte. Je visitai un cimetière, un de ces nombreux cimetières militaires de la Première Guerre mondiale aménagés pour recevoir les restes des soldats français et européens tombés dans les guerres qui ont estropié l’Europe. J’avais vu beaucoup d’images de ces cimetières, j’avais entendu des gens en parler, mais même muni de ce savoir, je n’étais pas préparé à ce spectacle.

Des croix de bois, blanches, toute simples, se dressaient dans la verdure au bord de la route, à perte de vue. Elles étaient innombrables, l’immensité de la perte qu’elles représentaient était insondable. Je garai la voiture de location, m’assis, regardai toutes ces croix en me demandant comment il pouvait se faire que malgré les sacrifices de ces hommes et de ces femmes, malgré leur bravoure, nous étions tombés si bas. Je me mis à pleurer, sanglotant dans la voiture en regardant les croix et les morts oubliés.

Pourquoi permettions-nous que les morts des soldats fussent vaines ? Pourquoi permettions-nous la conquête des envahisseurs ? Leur victoire ? Et sans riposter par un seul coup de feu ?

POURQUOI PERSONNE NE LÈVE LE PETIT DOIGT ?

Devant ces croix à l’infini, devant ces soldats tombés lors de guerres oubliées, mon désespoir se mua en honte, la honte en culpabilité, la culpabilité en colère et la colère en rage.

POURQUOI PERSONNE NE LÈVE LE PETIT DOIGT ?
POURQUOI PERSONNE NE LÈVE LE PETIT DOIGT ?

ET POURQUOI MOI JE NE LÈVERAIS PAS LE PETIT DOIGT ?

Le sortilège se dissipa : pourquoi ne le ferais-je pas ? Pourquoi pas moi ? Si ce n’est pas moi, qui le ferait ? Pourquoi d’autres le feraient à ma place ? Et c’est là que je décidai de faire quelque chose, c’est là que je me promis d’agir. De m’engager sur la voie de la violence. Pour mener en personne le combat contre les envahisseurs.

Qui représentez-vous ?
Des millions d’Européens et d’autres peuples ethno-nationalistes qui veulent vivre en paix et entre-soi, sur leurs terres, sous l’égide de leurs traditions, et qui veulent décider de l’avenir des leurs.

Faites-vous partie d’un groupe ou mouvement politique ?
Je ne suis membre d’aucune organisation ou groupe, même si j’ai donné de l’argent à beaucoup de groupes nationalistes et que j’ai échangé avec encore plus de groupes.

Est-ce que les groupes que vous soutenez ont commandité cet attentat ou le promeuvent ?
Non. Aucun groupe n’a commandité cet attentat. J’ai pris cette décision seul. Cependant, j’ai contacté les reborn Knights Templar pour recevoir leur bénédiction, qu’ils m’ont donnée.

Est-ce que ces groupes tiennent des positions de pouvoir ? Qui sont les membres de ces groupes ?
En tout, il y a des millions de gens dans ces organisations, lesquelles se comptent par milliers. Ce sont des gens de toute extraction, qui font tout type de métiers, mais dont une très forte proportion travaille dans les armées et la police. On peut s’attendre à ce que des ethno-nationalistes cherchent un emploi dans les branches qui sont au service de leurs nations et de leurs gens. D’après mes estimations, le nombre de soldats des armées européennes qui appartiennent à des groupes nationalistes avoisine les centaines de milliers, et il y en a autant dans les forces de police.

Avez-vous commis cet attentat pour la gloire ?
Non. Ce serait ridicule. Après tout, qui se souvient du nom des assaillants du 11 septembre à New York ? Et qu’en est-il de l’attaque du Pentagone ? Et des pirates de l’air de l’avion qui s’est écrasé dans les champs le même jour ? Moi, je serai vite oublié, ce qui ne me dérange pas. Après tout, je suis un simple particulier et plutôt introverti. Mais les contrecoups de mon action se feront sentir dans les années à venir, en orientant le discours politique et social et en créant l’atmosphère de peur et de changement qui est requise.

Pourquoi avoir ciblé ces gens ?
C’était un groupe d’envahisseurs important, visible et évident, d’une culture dont le taux de fécondité est élevé, la cohésion sociale forte et les traditions solides, qui s’efforcent d’occuper les terres de mon peuple et de remplacer ethniquement mon propre peuple.

Depuis quand aviez-vous prémédité cet attentat ?
J’ai commencé à penser à faire un attentat il y a environ deux ans et j’ai prémédité cet attentat de Christchurch trois mois en amont.

Pourquoi avez-vous choisi ce moment ?
Le meilleur moment pour frapper, c’est hier, et le meilleur moment suivant, c’est demain. L’attentat a été prémédité de façon à me ménager un temps suffisant pour l’entraînement, la planification, la gestion des autres affaires, la rédaction de mes opinions, puis la réalisation de l’action.

Pourquoi avez-vous choisi d’employer des armes à feu ?
J’aurais pu choisir d’autres armes ou moyens. Un camion de location rempli de peroxyde d’acétone. Un moulin à céréales domestique avec une méthode de dispersion et de mise à feu. Un marteau à bille et un bouclier de bois. Le gaz, le feu, l’attentat automobile ou par avion, tous les moyens sont disponibles. J’avais la résolution et j’avais les ressources. J’ai choisi les armes à feu pour l’effet que cela produirait sur le discours sociaux, la couverture médiatique supplémentaire que cela apporterait et le choc politique que cela produirait aux États-Unis et donc sur la situation politique dans le monde. Les États-Unis se déchirent en plusieurs factions à cause de leur deuxième amendement, en plus des lignes de fractures entre États, sociales, culturelles, et surtout raciales. Sous une pression suffisante, la gauche nord-américaine cherchera à abolir le deuxième amendement et la droite verra une telle chose comme un assaut contre l’essence-même de leurs libertés. Cette tentative d’abolition des droits par la gauche polarisera la population des États-Unis tant et si bien qu’ils se briseront en suivant les plans de clivage culturels et raciaux.

Pourquoi avez-vous choisi la Nouvelle-Zélande comme lieu de l’attentat ?
La Nouvelle-Zélande n’était pas le choix originel pour l’attentat. Je n’y suis venu que pour un séjour provisoire, le temps de préparer l’attentat, mais j’ai vite découvert que la Nouvelle-Zélande était un environnement aussi riche en cibles que partout ailleurs en Occident. Deuxièmement, un attentat en Nouvelle-Zélande braquerait les projecteurs sur l’attaque qui est faite à toute notre civilisation et montrerait qu’aucun endroit au monde n’était sûr, que les envahisseurs étaient sur toutes nos terres, même dans les coins les plus reculés du monde, et qu’il n’y avait donc aucun refuge qui fût préservé et libre de l’immigration de masse.

Y a-t-il une raison qui explique que vous ayez attaqué cette (ces) mosquée (s) en particulier ?
Au départ, ma cible principale était la mosquée de Dunedin, en particulier une fois que je vis la vidéo « Otago muslim association » sur leur page facebook.[ici].
La vidéo était intitulée « Vidéo très intéressante. Pour musulmans uniquement. Ne pas propager. », ce qui prouve qu’ils savent ce qu’ils font, et que c’est coupable.[ici]
Mais après avoir visité les mosquées de Christchurch et de Linwood et vu la profanation des églises qui avaient été transformées en mosquées à Ashburton, j’ai changé de plan. Les mosquées de Christchurch et de Linwood abritaient beaucoup plus d’envahisseurs, dans des bâtiments plus imposants et esthétiquement étrangers, avec moins d’élèves, plus d’adultes et un passif extrémiste. L’attaque de ces mosquées permettait aussi une attaque ultérieure contre la mosquée d’Ashburton, chose dont je ne suis pas sûr à l’heure où j’écris. C’est un objectif facultatif.

Est-ce que vous considérez que c’est un attentat terroriste ?
Oui, par définition. C’est un attentat terroriste. Mais je le vois comme une action de partisan contre une force d’occupation.

Éprouvez-vous quelque remords ?
Non. Je souhaite seulement en avoir tué un plus grand nombre, et davantage de traîtres par dessus le marché.

Est-ce que vous détestez les musulmans ?
Un musulman qui vit sur ses terres ? Non. Un musulman qui choisit d’envahir nos terres, de vivre sur notre sol et de remplacer notre peuple ? Oui, je ne l’aime pas. Les seuls musulmans que je hais de cœur sont les convertis, ceux de chez nous qui ont tourné le dos à leur patrimoine, à leur culture, à leurs traditions, pour devenir des traîtres à la race. Ceux-là, je les déteste.

Est-ce que vous haïssez les étranger et les autres cultures à titre personnel ?
Non. J’ai passé plusieurs années à voyager dans beaucoup de pays. Partout où je suis allé, mises à part quelques exceptions, j’ai été extrêmement bien accueilli, souvent comme hôte, parfois comme ami. Les diverses cultures du monde m’ont témoigné des sentiments chaleureux et compatissants et je n’ai passé presque que des moments agréables en leur compagnie. Je souhaite le meilleur aux différents peuples du monde, quels que soient leur ethnie, leur race, leur foi et qu’ils vivent heureux et prospères entre eux, sous l’égide de leurs traditions propres et dans leurs propres nations. Mais si ces mêmes gens viennent prendre les terres des miens, les remplacer, les subjuguer et leur faire la guerre, alors je serai forcé de les combattre sans répit.

Pensez-vous que ceux que vous avez frappé sont innocents ?
Il n’y a pas d’innocents dans une invasion. Tous ceux qui colonisent d’autres peuples sont co-responsables.

Avez-vous commis cet attentat pour recevoir un écho médiatique et pour propager vos écrits, croyances et idéaux ?
Non, l’attentat était une fin en soi, qui contient son message en lui-même. Ces écrits et la couverture médiatique, c’est en supplément.

Était-il prévu de survivre à l’attentat ?
Oui, même s’il fallait s’attendre à la mort. Ces situations sont chaotiques et il est presque impossible de tout contrôler, quelque bon soit le plan. Survivre était une meilleure option que mourir, afin de propager mes idéaux via la couverture médiatique et pour appauvrir l’État en m’emprisonnant.

L’attentat était-il d’inspiration raciste ?
Les taux de fécondité sont liés à la race par nature, donc oui. Il y avait une composante raciale dans l’attentat.

L’attentat était-il d’inspiration xénophobe ?
Les taux de fécondité sont culturels, c’est indéniable, donc dans la mesure où il y a une guerre civilisationnelle menée par les envahisseurs, mon attentat était une réponse à cela. Cependant, je n’ai pas tant de peur ou de méfiance vis-à-vis des autres peuples.

L’attentat était-il d’inspiration islamophobe ?
Les nations musulmanes ont un taux de fécondité élevé, indépendamment de l’ethnie ou de la race. En ce sens, l’attentat a une motivation anti-musulmane. Il vient aussi d’une volonté de revanche contre l’islam pour les 1300 ans de guerre et de dévastation qu’il a apportés aux peuples de l’Ouest et à d’autres peuples du monde.

L’attentat était-il d’inspiration anti-immigrée ?
Oui, sans aucun doute. Anti-immigration, anti-remplacement ethnique et anti-remplacement culturel.

L’attentat était-il d’inspiration anti-diversitaire ?
Non, l’attentat ne visait pas la diversité, il a été menée au nom de la diversité. Pour s’assurer que les divers peuples restent divers, séparés, uniques et non-dilués et non-contraints dans l’expression autonome de leur réalité ethnique et culturelle. Pour s’assurer que chaque peuple reste fidèle à ses traditions et à sa foi et ne finisse pas noyé et corrompu sous des influences étrangères. L’attentat recherchait la préservation de la beauté, de l’art et de la tradition. Pour moi, un arc-en-ciel n’est beau que de la variété de ses teintes. Mélangez-les et vous les détruirez toutes, elles disparaîtront pour toujours et le résultat final sera très loin d’être une belle chose.

Cherchiez-vous à tuer des policiers ou d’autres fonctionnaires ?
Non. Les policiers de Nouvelle-Zélande sont globalement en bons termes avec le public et contrairement à d’autres nations européennes comme la France, le Royaume-Uni ou la Norvège, ils sont encore loyaux envers les gens. Donc il fallait à tout prix éviter de blesser des policiers néo-zélandais, à moins qu’ils ne fussent eux-mêmes envahisseurs d’origine. Le plan était de frapper rapidement, puis de s’exfiltrer, pour éviter les ripostes étatiques et donc la nécessité de les blesser.

Dans l’éventualité d’un affrontement avec eux, j’avais l’idée un peu idéaliste de les intimider pour les forcer à baisser leurs armes ou, en cas d’échec, de ne viser que des organes non-vitaux comme la cuisse, l’épaule ou le mollet, les tendons ou les muscles fessiers, pour provoquer le moins de dégâts possibles et leur permettre une remise sur pied rapide. Comment cela s’est-il passé en réalité ? Vous seul le savez.

En cas de survie, comptiez-vous passer au tribunal ?
Oui, pour plaider non-coupable. Cet attentat était une action de partisan contre une force d’occupation et je suis un combattant légitime sans uniforme.

En aviez-vous après d’autres cibles ?
Beaucoup d’autres. On peut dire que dans l’état où se trouve l’Occident aujourd’hui, nous vivons dans un environnement riche en cibles, les ennemis et les traîtres abondent.

Êtes-vous raciste ?
Oui, par définition. Je crois qu’il y a des différences raciales entre les peuples et qu’elles sont de grande conséquence sur la manière dont nous formons nos sociétés. Je crois aussi que les taux de fécondité font partie de ces différences raciales et que les immigrés dans nos pays qui ont un taux de fécondité élevé doivent être expulsés pour garantir l’existence de notre race. Donc oui, je suis raciste.

Êtes-vous xénophobe ?
Non, aucune culture ne me fait peur. Je me méfie seulement des cultures qui en remplacent d’autres par leur fort taux de fécondité.

Êtes-vous islamophobe ?
Non, je n’ai pas peur de l’islam, mais de sa croissance qui tend à remplacer d’autres peuples et d’autres croyances, en vertu de ses taux élevés de fécondité.

Êtes-vous nationaliste ?
Oui, surtout ethno-nationaliste. Je place l’importance de la santé et du bien-être de ma race au-dessus de tout.

Êtes-vous nazi ?
Non, les nazis véritables n’existent pas. Ils ont cessé d’être une force politique ou sociale, où que ce soit dans le monde, depuis 60 ans.

Êtes-vous antisémite ?
Non. Un Juif qui vit en Israël n’est pas mon ennemi, tant qu’il ne cherche pas à subvertir les miens ou à leur nuire.

Êtes-vous néo-nazi ?
C’est une catégorie très large, et la définition qu’on en donne est floue, au mieux. Donc non, je ne crois pas.

Êtes-vous conservateur ?
Non, le conservatisme c’est du capitalisme masqué. Je n’en avalerai pas une bouchée.

Êtes-vous chrétien ?
C’est compliqué. Quand je le saurai, je vous le dirai.

Êtes-vous fasciste ?
Oui. Pour une fois, celui qu’on traite de fasciste en est vraiment un. Je suis sûr que les journalistes vont adorer ça. Je suis d’accord sur l’essentiel avec Sir Owald Mosley et je me considère comme éco-fasciste. Le pays qui porte les valeurs les plus proches des miennes est la République Populaire de Chine.

Dans l’histoire, quelle est la figure politique ou le parti dont vous vous sentez le plus proche ?
Sir Owald Mosley est celui dont je me sens le plus proche.

Êtes-vous homophobe ?
Non, je me moque complètement de ce que font les homosexuels. Tant qu’ils sont loyaux à leur peuple et qu’ils placent le bien-être de leur peuple en premier, ils ne me posent pas de problèmes.

Êtes-vous de droite ?
Cela dépend de la définition.

Êtes-vous de gauche ?
Cela dépend de la définition.

Êtes-vous socialiste ?
Cela dépend de la définition. La propriété ouvrière des moyens de production ? Il faudrait savoir qui sont ces ouvriers, quelles sont leurs intentions, qui possède ces moyens de productions à l’instant t, qui dirige l’État et quels sont ses buts.

Soutenez-vous Donald Trump ?
En tant que symbole du renouveau de l’identité blanche et d’un but commun ? Oui bien sûr. En tant que chef politique ? Non, surtout pas.

Soutenez-vous le Brexit ?
Oui, mais pas en tant que ligne politique. Les gens vont devoir ouvrir les yeux sur le fait que cela n’a rien à voir avec l’économie. Il s’agissait d’une riposte du peuple britannique contre l’immigration de masse, le dérangement culturel et le mondialisme, et en ce sens c’est une grande et belle chose.

Soutenez-vous le Front National ?
Non, c’est un parti mollasson de septuagénaires nationalistes civiques, totalement incapable d’apporter un vrai changement et qui n’a pas de plan viable pour sauver sa nation.

Habitant la Nouvelle-Zélande, vous êtes vous-même un immigré ?
Oui, et je crois savoir que nous autres immigrés apportons avec nous tout un tas de problèmes. Non, je blague. Un Australien qui habite en Nouvelle-Zélande est comme un Autrichien qui habite en Bavière. Ils ne vont pas remplacer ethniquement le peuple ni changer la culture nationale. Ce sont les mêmes gens, c’est la même culture.

Êtes-vous intolérant ?
Certainement. Les dernières vertus d’une nation moribonde sont la tolérance et l’apathie, et je ne mange pas de ce pain-là.

Comment en êtes-vous arrivé à vos conceptions présentes ?
Au bout d’un temps très long et à partir d’un grand nombre de lieux.

Où avez-vous puisé toutes ces conceptions ?
Sur internet, évidemment. On ne trouve la vérité nulle part ailleurs.

Y a-t-il une personne qui vous aurait particulièrement radicalisé ?
Ou, la personne qui m’a le plus influencé s’appelle Candace Owens. A chaque fois qu’elle s’exprimait, j’étais ébloui par ses propos et ses opinions m’ont aidé à approfondir toujours davantage ma conviction que la violence vaut mieux que la douceur. Cependant, je ne suis pas d’accord avec elle sur tout, les actions qu’elle préconise sont un peu trop extrêmes, même pour moi.

Est-ce que les jeux vidéo, la musique, la littérature ou le cinéma vous ont inculqué cette violence et cet extrémisme ?
Oui. Spyto le Dragon 3 m’a appris l’ethno-nationalisme. Fortnite m’a entraîné à devenir un tueur et à saucissonner le corps de mes ennemis.
Non.

Avez-vous toujours eu ces opinions ?
Non. Quand j’étais plus jeune, j’étais communiste, puis anarchiste et enfin libertarien, avant de passer à l’éco-fascisme.

Qui considérez-vous comme blanc ?
Ceux qui sont ethniquement et culturellement des Européens.

Qui considérez-vous comme non-blanc ?
Ceux qui ne sont pas ethniquement et culturellement des Européens.

Vos opinions viennent-elles de votre entourage familial et autre ?
Non. Mon entourage est typiquement australien, apathique et en général apolitique. Ils ne montrent une motivation véritable que pour ce qui touche aux droits des animaux, à l’écologie et aux questions fiscales.

Vous considérez-vous comme un meneur ?
Non, tout simplement comme un partisan.

Avez-vous des liens avec d’autres partisans du même genre ?
Je soutiens quantité de partisans qui ont marqué le coup contre le génocide ethnique et culturel, comme Luca Traini, Anders Breivik, Dylan Roof, Anton Lundin Pettersson, Darren Osbourne, etc. Mais je n’ai eu qu’un contact bref avec le Chevalier justicier Breivik, en recevant une bénédiction pour ma mission après avoir contacté ses frères en chevalerie.

Vos opinions ont-elles été influencées par d’autres auteurs d’attentat ?
J’ai lu les écrits de Dylan Roof et de beaucoup d’autres, mais celui dont je tire ma véritable inspiration, c’est le Chevalier justicier Breivik.

En cas de condamnation, comptez-vous rester en prison ?
Oui, jusqu’à ce qu’ils me tuent, me lièrent, ou qu’assez de temps passe et que la situation tourne à la défaite évidente pour notre peuple. Dans ce cas, je me suiciderai, heureux de savoir que j’ai fait de mon mieux pour éviter la mort de ma race.

Pensez-vous que vous serez libéré de prison ?
Je ne m’attends pas seulement à être libéré, je m’attends aussi à recevoir le Prix Nobel de la Paix. Le terroriste Nelson Mandela l’a bien reçu, une fois que son peuple a remporté la victoire et a pris le pouvoir. Je m’attends à être libéré dans les 27 ans suivant mon incarcération, le même nombre d’années que Mandela, pour le même crime.

Pourquoi tenez-vous tant à l’Europe, n’êtes-vous pas australien ?
L’Australie, comme toutes les autres colonies de l’Europe, n’est qu’un avant-poste du peuple européen. Un doigt de la main du corps de l’Europe. Les origines de ma langue sont européennes, ma culture est européenne, mes idées politiques sont européennes, mes opinions philosophiques sont européennes, mon identité est européenne et, par dessus tout, mon sang est européen.