L’islam est constitué de tout un corpus de règles, basé sur :

  • le coran – livre sacré de l’islam recueil de la révélation d’Allah – écrit il y a plus de 1400 ans et qui ne doit absolument pas être remis en question, ni discuté car constituant la parole de Dieu.
  • les hadiths qui retranscrivent les paroles et actes de Mahomet le prophète du dieu.

Selon ces écrits, et leurs interprétations par la plupart des théologiens musulmans on peut dire sans ambigüité que l’islam s’occupe de l’aspect spirituel évidement mais aussi de tous les autres domaines de la vie :

  • Des lois islamiques – la charia –
  • De la politique islamique,
  • De l’économie islamique
  • De l’éducation islamique
  • De la vie sociale du musulman
  • Des aspects culturels de l’islam

Les lois islamiques – la charia –

La charia codifie à la fois les aspects publics et privés de la vie d’un musulman, ainsi que les interactions sociétales. Tout musulman doit respecter aveuglement la charia et qui n’est pas légiférable car c’est la parole de dieu et de son prophète.

La charia est structurée en deux parties :

  • Al ‘Ibadat concernant le culte : l’attestation de l’unicité d’Allah, la prière, l’aumône et la charité, le jeûne, le pèlerinage à la Mecque.
  • Al Mu’amalat concernant les interactions humaines : transactions financières, dotations, règles d’héritage, mariage, divorce, garde des enfants, nourriture et boisson, guerre et paix, infractions pénales, affaires judiciaires

La charia étant retranscrite dans le Coran, c’est une loi intangible et inamovible, elle réduit à néant toute liberté individuelle, toute possibilité d’évolution pour le musulman.
Cela est reconnu par la Cour européenne des droits de l’homme, qui dans un arrêt du 31 juillet 2001 fait observer l’incompatibilité du régime démocratique avec les règles de la charia.

La politique islamique

L’Islam divise principalement le monde en deux domaines :

  • Dar al-Islam ou « domaine de la soumission à Dieu » : les pays où s’applique la charia ou ceux à majorité musulmane.
  • Dar al-Harb, le « domaine de la guerre » : les pays où l’Islam reste à apporter par la guerre militaire de conquête, mais aussi prosélytisme religieux face aux autres cultes et croyances.

Pour faire disparaitre le Dar al-Harb, les musulmans ont depuis toujours eu une politique agressive de conquête. Pour n’évoquer que l’Europe occidentale :

  • Conquête de l’Espagne de 711 à 1492 (conquête de Grenade)
  • Invasion de la France arrêtées par la victoire en 732 de Charles Martel.
  • Raids sur les côtes méditerranéennes, la Sicile fut conquise à partir de 827, Malte en 870, les Baléares en 902.

En 1095, l’Europe lancera la première croisade pour répondre à ces attaques incessantes et aux persécutions des pèlerins chrétiens. 1073, début des persécutions contre les Juifs et les chrétiens par les Turcs à Jérusalem. 1077, massacre de 3000 infidèles à Jérusalem par le chef turkmène Atsiz.

Mais bien sûr les musulmans ont portés la guerre de partout ailleurs :

  • Europe Orientale : Constantinople tombe en 1453
  • Moyen-Orient et Asie centrale : bataille de Talas (au Kirghizistan près de la ville actuelle kazakh de Taraz) contre les Chinois en 751
  • Afrique : l’Afrique du Nord est « officiellement » conquise en 711.
  • Inde : Le XIe siècle incarne le début de la véritable expansion de l’Islam en Inde

Tout musulman doit écouter et obéir, bon gré mal gré au Prophète et à ceux qui détiennent l’autorité, si celle-ci ordonne ce qu’Allah a ordonné. L’obéissance est due au successeur de Mahomet, le calife puisque c’est le représentant de l’umma islamique qui commande le bien et interdit le mal. Son autorité viendrait alors de Dieu. Ce sont les califats créé dès 632. Concrètement cela signifie simplement que le gouvernement des pays musulman est forcément théocratique, car il n’y a plus rien à légiférer, c’est dieu qui à tout prévue et décrit- en clair pas de démocratie, pas de liberté, pas de vote, … C’est la politique du totalitarisme religieux !

D’autre part l’islam gère les relations avec les non musulmans, les mécréants. Une seule voix diplomatique, il faut les combattre pour les soumettre. De manière simple, l’islam revendique la mort sans exception de tous les polythéistes et la mort ou la soumission des Chrétiens et Juifs (dhimi), avant de mourir ils peuvent tous servir d’esclave.
Les premiers pogroms de juifs et de chrétiens ont été perpétrés par les musulmans dès 624. Le statut de dhimi permettant aux juifs et chrétiens de vivre en terre musulman, privé de droit, en payant une taxe pour une pseudo-protection.

Si la religions chrétienne à bien souvent servi d’alibi pour nos conquêtes et colonisation, elle n’a jamais porté dans ces textes sacrés ce dogme d’hégémonie contrairement à l’Islam qui lui est une belle religion de Paix et d’Amour, victime de toutes les exactions des européens !

L’économie islamique

Les banques islamiques sont basées sur un système de finance s’appuyant sur les règles issues de la charia.

  • Zakat : la taxation de certains biens, comme les récoltes, pour redistribuer l’argent à des fins définies explicitement, telles que l’aide aux démunis.
  • Gharar : l’interdiction du hasard : en présence d’éléments d’incertitude, il faut établir un contrat (qui n’exclut pas seulement un système d’assurance, mais aussi le prêt d’argent sans participation dans les risques).
  • Ribâ : l’interdiction de l’usure. Les économistes islamiques modernes sont d’accord pour dire que ça ne correspond pas seulement à l’usure mais à toutes sortes d’intérêts.

Par ailleurs le Coran dit qu’Allah est le seul propriétaire de tout ce qui est dans le ciel et sur la terre. Le clergé catholique est finalement bien pauvre en regard des théocrates musulman qui possèdent tout !

L’éducation islamique

L’éducation prônée par l’islam dans les madrasas est uniquement basée sur l’apprentissage par cœur du coran et la récitation permanente de prière. Ce rôle éducatif est donc un conditionnement des enfants pas du tout un apprentissage de  connaissance.
Cela reste en phase avec la vision de la science musulmane qui s’appuie sur le fait que tout a déjà été révélé dans le coran par les paroles d’Allah.

La vie sociale du musulman

Le Coran et les hadiths décrivent tous, absolument tous ce que doit faire un musulman dans sa vie sociale et spirituelle. L’islam s’immisce dans la vie quotidienne du Musulman.
Chaque acte, chaque relation entre les personnes sont décrites dans le Coran ou les hadiths. Un bon musulman doit vivre comme il y a 1400 ans !

Pour comprendre complétement le musulman occidentalisé, il faut explorer le concept de la taqîya. C’est une pratique, au sein de l’islam, consistant à dissimuler ou à nier sa foi sous la contrainte afin d’éviter la persécution. La tromperie est justifiée dans le but de faire avancer l’islam.
Ainsi on peut être une parfaite racaille de banlieue, consommatrice de sexe, de drogue, d’alcool, et rester un bon musulman sous couvert de taqîya, et finir en martyr islamo-terroriste.
Alors que penser de notre voisin, cadre supérieur, pratiquant un islam modéré ?

Les sciences et culture islamique

La science est aussi sous le contrôle du Coran et des hadiths !
D’une part l’Islam encourage la recherche et ne pose, a priori, aucune limite au champ d’investigation, mais les religieux ont souvent posé la condition suivante : le savoir profane ne doit jamais contredire ou même remettre en question les « constantes » islamiques.
D’autre part les savants musulmans sont souvent issus de pays conquis par les musulmans, donc musulman par obligation et dont la construction intellectuelle ne doit rien à l’apport de l’islam …

Une rapide recherche permet de lister une cinquantaine de savants musulman.
Prenant au hasard  Abbas ibn Firnas, constructeur d’un planeur en 875 dont voici la description :

« Parmi d’autres expériences très curieuses qu’il a faites, l’une est son essai de voler. Il se couvrit de plumes, attacha deux ailes à son corps et, s’élevant, se jeta dans les airs, quand, d’après le témoignage de plusieurs écrivains de confiance qui assistèrent à la représentation, il vola sur une distance considérable, comme s’il avait été un oiseau, mais en atterrissant à l’endroit d’où il avait commencé, son dos était très endommagé, ne sachant pas que les oiseaux atterrissent sur leurs queues, il a oublié de s’en fournir d’une. »

Cela ressemble à une plaisanterie !

D’un point de vue culturel les musulman détruisent tous ce qui non conforme à l’islam :

  • nombreuse églises transformées en mosquées en Espagne durant l’Al-Andalus.
  • les djihadistes expliquent que les sculptures sont «des idoles pour les peuples d’autrefois qui les adoraient au lieu d’adorer Dieu», rappelant que «le prophète a ôté et enterré les idoles à la Mecque».
  • Destruction de sites liés à l’Islam précoce : 1994, fatwa du mufti Abd al-Aziz ibn Baz « il n’est pas permis de glorifier les bâtiments et les sites historiques. De telles actions mènent au polythéisme. »

Nous sommes donc très loin d’une religion cantonnée au domaine de la foi, qui s’attache à sauvegarder nos âmes, et apporter une certain philosophie de vie mais dans un dogme fortement totalitaire qui gère tous les aspects de la vie et de la société musulmans  et à pour essence primaire de s’étendre à la terre entière en éliminant les mécréants.

Je peux donc affirmer que l’Islam n’est pas une religion mais un système totalitaire, une civilisation conquérante et cela depuis son fondement en 610.