1> Le contexte communautaire : l’immigration et la religion musulman

La pression des migrants et des musulmans est importante sur notre société. Elle se traduit par un accroissement des tensions inter-communauté et de la violence.

L’islamisme profite de l’abandon et du désœuvrement de la jeunesse pour recruter, mais comme toujours il n’y a qu’une infime partie de fanatique, la majorité sont des moutons qui suivront.

La racaille musulman profite de l’islamisme pour ce donner une aura, une justification mais cela reste avant tout une mafia avec des intérêts territoriaux.

Les musulman ne sont pas unis (mais plus solidaire que les européens de souches), il y a d’énormes rivalité entre eux. Ils ne vont pas s’allier naturellement contre les français de souche (sauf si leurs pays d’origine s’alliaient eux même et faisaient un appel à la guerre contre la France. Mais dans ce là nous serions en guerre …mondiale)

De nombreux migrants sont venu vivre de notre charité et la majorité a compris qu’il vaut mieux ce tenir tranquille pour continuer à en profiter.

 

L’ensemble de ces éléments me laisse penser que le contexte migratoire et communautaire n’est pas un risque en soi de guerre en France (mais une cause d’instabilité et de mal-être).

  • La majorité de cette population suit « le sens du vent », ses leaders, profite du laxisme de l’état français et du progressisme occidental sans pour autant avoir un désir de guerre.
  • Une minorité de racaille (mais peut être une majorité de jeune ?) a mis en place une mafia économique et une alliance avec l’islamisme. Elle défend son territoire avec violence. En cas de besoin elle pourra faire des incursions dans des zones proches. Ces racailles pourront-être à l’origine d’émeute urbaine plus ou moins forte, mais pas d’une guerre. Elles ne sont pas suffisantes, structurées et équipées pour faire une guerre de conquête, par contre elles pourront défendre fermement leurs territoires. Mais elles constituent le principal vecteur de violence quotidienne actuelle.
  • Une minorité islamique, qui souhaite le jihad et notre asservissement, mais qui ne dispose pas de moyen suffisant en France pour déclencher une guerre (les racailles veulent faire de l’argent sur leurs territoires et la majorité souhaite vivre tranquillement). Donc ce sont de temps en temps des attentats organisés et efficaces et le plus souvent des attaques d’opportunismes menées par des fanatiques isolés à l’écoute des prêches de haine.

Ces islamistes attisent la tension, encourage les racailles dans leur voie, pousse la majorité à revendiquer de plus en plus sa religion.

 

Si on prend comme point de départ les attentats du 11 septembre 2001 et les guerres de rétorsions du monde occidental contre les musulmans, on voit que 20 ans plus tard l’islamisme dans nos pays n’a toujours pas su déclencher une guérilla et ne la déclenchera pas. Donc pas de risque de guerre de ce côté-là (Emeute, violence au quotidien et attentat oui)

Par contre le danger réside dans l’accroissement de la population musulman et migrante dans l’occident. Certaines projections la donne majoritaire en France en 2050.

Et là plus besoin de guerre et d’attentat nous serons un nouveau pays musulman (qui connaitra la division et la violence entre les différentes factions et courant ….)

 

2> Le contexte sociétal

La société occidentale est nourrie d’individualisme, d’hédonisme et de progressisme depuis les années 60. Aujourd’hui nous avons atteint un sommet en termes de délitement de nos valeurs :

  • Nous n’avons plus aucune fierté sur ce que nous sommes et ce que nous avons été. Nous vivons (jouissons) l’instant présent sans/peu de projection sur l’avenir.
  • Nous n’avons plus ou peu de solidarité pour nos proches, par contre nous aimons ce qui nous est étranger
  • Nous manquons globalement de courage et baissons la tête en permanence. Nous avons peur de perdre ce que nous avons (sans projeter que nous pourrions perdre plus dans l’avenir)
  • Nous préférons la sécurité à la liberté et nous sommes prêt à la sacrifier plutôt qu’à la défendre
  • Notre école n’apporte plus des compétences et un savoir-faire mais une éducation et un savoir être. Notre jeunesse est soumise à une propagande insidieuse qui lui a détruit sa capacité de réflexion et de projection.
  • Nous encourageons la facilité et l’assistanat au détriment du gout de l’effort. Nous mettons en avant la médiocrité qui réussit un peu plutôt que l’excellence qui réussit souvent. Cela construit une « élite » peu méritante
  • Nous détruisons la famille au profit de l’individu.
  • Nous opposons hommes et femmes, pères, mères et enfants, jeunes et vieux, riches et pauvres. Notre société est devenue par nature divisée et conflictuelle
  • Nous n’avons plus de spiritualiste mais une religion de scientisme matérialiste qui nous assimile à des robots

 

L’ensemble de ces facteurs font que la majorité de notre société est incapable de réagir à quoi que ce soit et ne fera que suivre des leaders (à l’instar de la majorité musulman mais avec un niveau de prise de risque très inférieur)

Et elle ne suivra que des leaders lui promettant plus de sécurité et plus de plaisir, autant dire que la majorité restera sous influence des politiques.

 

Les minorités agissantes sont de deux ordres :

  • Une minorité « progressiste » renforçant les valeurs d’individualisme, d’hédonisme et de progressisme : « l’élite » actuellement au pouvoir et leurs idiots utiles (antifa, black block, zadiste, BLM, indigéniste, écologiste ….). Les idiots utiles sont couverts par l’état et peuvent se permettre tous les débordements et provocations. La limite principale de la minorité progressiste est quelle dénigre et qu’elle se confronte aux personnes qui la protègent (force de l’ordre et armée). Lorsqu’il y aura point de rupture, elle sera bien seule.
  • Une minorité » réactionnaire » qui aime la France, sa culture et veut refonder le bien commun autour des familles, du travail et de l’amour de sa terre. Cette minorité est systématiquement ostracisée, les débats sont impossibles et la répression systématique. Mais cette minorité réactionnaire porte l’amour du pays, de l’ordre, de la culture, elle défend et respecte les forces de l’ordre, l’armée, l’école … la logique et le bon sens fera que les institutions ce rapprocherons de ceux qui les défendent.

 

Ces deux minorités (hors élite au pouvoir) sont d’autre part tellement disparates qu’il n’est pas envisageable qu’elle soit à l’origine d’une guerre. Actuellement et contrairement aux islamistes et aux racailles, elles ne sont même pas en mesure de provoquer des attentats ou de la violence quotidienne.

 

Le contexte sociétal verrouille donc une possibilité de guerre civile lancée par les autochtones pour des motifs politique.

 

3> Contexte économique

D’un point de vue économique la situation est complexe.

Les grands groupes occidentaux sont largement bénéficiaires du mondialisme.

Par contre les petites structure – PME/PMI  – sont fragilisées et souvent dépendantes des grands groupes.

Les populations occidentales subissent la mondialisation. Leur travail est délocalisé là où la main d’œuvre est moins chère. Notre classe ouvrière est laminée. Il ne subsiste globalement que de l’emploi tertiaire et de l’assistanat (via des aides directes ou des pseudos-emploie fonctionnarisé). Le travailleur est poussé à s’individualiser via le phénomène « uber » pour perdre ses protections sociales et devenir corvéable à merci.

 

Schématiquement la population occidentale est divisée en 3 grandes catégories :

  • Les hyper-riches : une extrême minorité profitant du mondialisme
  • Les travailleurs : les salariés, fonctionnaires « utiles», artisans et « petits » patrons dont le travail permet de produire de la richesse et apporter du bien être à la population. Petite majorité ou grosse minorité, les travailleurs permettent l’enrichissement des hyper-riches et l’assistanat des assistés. Malgré cela ils sont pressurés de plus en plus, critiqués, dénigrés en permanence (trop riches pour les assistés, et pas assez pour les hyper), ils n’ont pas droit à la parole malgré leur contribution fondamentale à la société, et ils sont en permanence menacé de déclassement.
  • Les assistés : Une grosse majorité de la population que ce soit que ce soit par une assistance directe sans jamais avoir contribué à quoi que ce soit ou indirect en détenant un emploi n’apportant rien à la collectivité (fonctionnaire inutile). On peut aussi ranger dans cette catégorie les retraités, qui s’ils ont contribués à la richesse du pays représente maintenant un coût moralement juste. Tous les assistés sont dépendants des travailleurs. Leur principale apport est de dépenser leurs aides, qui de facto seront principalement capté par les hyper-riches (encore une façon pour les hyper-riches de s’emparer indirectement des richesses produites en récupérant la consommation de l’assistance)

 

L’assistanat aura une limite, celle de la production de richesse du pays qui va au mieux stagner voir plutôt diminuer après 18 mois de crise covid (si elle s’arrête)  et celle de l’inflation dû à une production disproportionnée de monnaie qui va durablement affaiblir l’Euro.

Donc la baisse de la production de richesse (récession) et l’augmentation des prix (inflation et pénurie en cours) ne pourra que conduire à un nouvel endettement massif de l’état ou une forme de cessation de paiement. Mais l’un dans l’autre la population d’assisté va rencontrer de grosses difficultés économiques et petit à petit alimentaires. La population de travailleurs devrait ce réduire pour basculer en partie dans la précarisation des assistés.

 

D’un point de vue mondial, la baisse de production occidentale, l’inflation, les pénuries, la précarisation massive, donc la baisse de consommation importante devrais nous conduire à un krach économique, une explosion des bulles spéculatives financière. Cette désagrégation économique (Great Reset ?) devrait être comparable à la crise de 1929 pour les entreprises mais devrait être beaucoup plus difficile pour la population occidentale (et française en particulier) qui est devenu totalement assisté et n’a plus aucune résistance morale ni résilience.

 

A ce moment la réaction des gens pourraient être irrationnel et partir dans n’importe quel sens.

 

4> Conclusion

Ces trois contextes posés, ce que j’entrevois (en France) est ceci :

  • Dégradation importante de l’économie occidentale
  • Précarisation de plus en plus de personnes
    • Horizon fin 2021

 

  • Krach économique -> c’est le point clef de la suite des évènements. Si la production de monnaie et l’endettement, n’introduit ni récession, ni inflation le système durera …
  • Manifestation/émeute de la faim en Occident
  • Augmentation de la violence et des tensions dans les centres urbain et péri-urbaine
    • Horizon mi-2022

 

  • Emeute dans les cités : L’étincelle dans ces territoires sera peut-être due à une trop forte baisse de revenues mafieuse et/ou à une vengeance d’un Français de Souche.
    • Horizon 2022/2023

 

  • Pour arriver à une forme de libanisation de la situation :
    • un état affaibli qui ne pourra pas contrôler l’intégrité du territoire et qui va protéger ses points névralgiques (centres nucléaires, de communications, d’administrations)
    • des affrontements communautaires pour des questions de territoires (sous couvert de religion),
    • une économie redevenu locale et réemployant de la main d’œuvre (agriculture à l’ancienne, industrie du marteau…)
    • une éventuelle intervention extérieure pour ? qui ? comment ? -> dépend du niveau d’effondrement économique des différents pays

 

Mais la rupture étant principalement économique, pas sociétale ni communautaire/religieuse, la coopération devrait voir jour pour reconstruire un tissu national en changeant de paradigme (lequel ?) et en s’appuyant sur un niveau de connaissance et de technicité important (ce ne sera pas le retour au 19eme siècle, même si le travail humain va reprendre une place importante) sous 2 à 5 ans.